• de ce que j’accepte spontanément
• de ma croyance qu’accepter c’est vivre dans la soumission de mon réflexe de dire non
• d’être à l’écoute de ce qui se passe autant à l’intérieur de moi qu’autour de moi sans jugement

L’acceptation a deux côtés de médaille, un côté qui semble me dire que je dois tout accepter sans rien dire, et qui souvent déclenche de l’insatisfaction, de la rébellion ou même du défaitisme. Et l’autre côté où accepter prend le sens de suivre ce qui m’est présenté avec une vision sur ce que je peux y apprendre, ce que j’ai à y découvrir.

Accepter c’est aussi reconnaître la vérité et la réalité de ce qui se passe sans accuser ni juger qui que ce soit de la situation. Accepter ce que je vis comme faisant partie de ma route, de mes apprentissages.